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mardi 31 juillet 2012

Quand on a le droit mais qu'on ne peut pas encore!

Salut à toi lecteur assidu #oupas (et puis toi, toi , toi au fond euh...non pas toi.)


If it hadn't been for Cotton-Eye Joe
I'd been married long time ago
Where did you come from, where did you go?
Where did you come from, Cotton-Eye Joe?



Bien, maintenant que le point Cotton eye Joe est passé est que j'ai toute votre attention , on va pouvoir parler sérieusement.


Bon, il semblerait que nous ayons trouvé un acheteur pour la maison.  Certes il est un peu relou, d'accord il a l'energie d'un couteau de mer qui serait resté trop longtemps sur le sable à marée basse, bien sur que j'ai envie de lui balancer un p'tit coup de tazer pour qu'il_ç finisse ses phrases plus vite mais tant qu'il a l'argent hein!?

Je dis relou parce qu'il est venu 5 fois ( seul, avec maman, puis avec papa, puis avec sa copine, puis re-tout seul), il nous pose des questions d'extra terrestre et puis il a une propention à nous parler de toute sa vie. Quand il a commencé à nous raconter sa vie, avec la comtesse on était un p'tit peu:


Maintenant il va falloir se mettre d'accord sur les dates parce que comme il n'a pas encore vendu sa maison, et qu'il ne veut pas faire de prêt relais et machin et bidule ( Relou j'vous ai dit!); bref, comme tout ça : bah lui il voudrait qu'on signe en Janvier! Alors que nous on se dit début novembre ( trois mois quoi!)
Janvier, nan mais janvier quoi!
Bah oui en janvier: arriver quand il fait -30°, l'année scolaire des enfants, et puis, il faut bien l'avouer : avec madame la comtesse, on ne se voit pas faire enccore 6 mois ici. C'est idiot mais maintenant que nous avons le droit d'y aller, on veut pouvoir y aller le plus vite possible ( mais sans précipitation).

Tout ça pour vous dire que ce soir on saura si on est :


ou plutôt :

C'est bon, vous pouvez remettre vos chaussures, vous mettez vos verres dans le lave-vaisselle, et vous éteignez la lumière en partant ( OUAI OUAI MAIS EN ATTENDANT LA DERNIERE FOIS IL A FALLU QUE JE REPASSE DERRIERE VOUS!)


vendredi 27 juillet 2012

On y est!

Bonjour à tous,

Oui oui je sais, on ne fait pas dans le régulier, on manque d'endurance, on ferait plutôt dans le saccadé même. Mais bon, vous savez ce que c'est: le quotidien, les gosses, la phlébite de Tata Simone, toussa...

Bon ceci dit, vous notâsserez ( j'dis comme j'veux!) que quand on revient, c'est pas avec de la demi nouvelle ou  de l'info de bas étage! Nan m'sieurs dames, sous vos yeux ébahis je vous annonce que.....



Que...


QUE....




(Suspeeeeeense dramatique visant à attirer l'attention du lecteur ( toi en fait!)


QUE...



QUE...

ON A NOS VISAAAAAAAAAAS!!!!!



Youhouuuuuuuuuhouuuuuuu!

Danse de la joie en ouvrant la boite aux lettres


Bon allez que je vous expliquâsses (arrête de t'offusquer, j'te l'ai dit, j'écris comme j'veux!): Nous sommes donc partis fatiguer les monstres , épuiser les monstres, perdre les monstres en vacances sportives à la montagne. Sur place nous consultions tous les mardis le site de l'ambassade pour savoir où en était notre dossier. Et un beau matin, on voit ça :
Bon alors là, je dois t'avouer que j'ai le cœur qui s'est un peu crispé. Une "décision est prise "! Cela presque deux ans que nous avons envoyé nos premiers documents, presque deux ans que nous nous sommes refusé de guetter la boite aux lettres, pour continuer à vivre, pour nous, les enfants, l'entourage; et puis, tant que nous n'avions de concret, on se refusait de tout stopper ici.

Bref, on était en vacances, on savait ça mais bon, on savait pas quelle décision était prise.
Et quand nous sommes rentrés il y a deux jours, je me suis précipités vers le courrier, je l'ai vu cette grosse lettre marron avec le tampon de l'ambassade et là: Déliveraaaaaaaaaance (le sentiment, pas le film!)

Donc on est heureux, contents, ravis et.. et ..enfin j'veux dire...là..on commence serieusement à flipper!!!!!

Tout s'accélère: vendre la maison, la voiture, toutes nos affaires,  démissionner de nos jobs, trouver la maison sur place, organiser le déménagement..

Bref, on a pas fini de transpirer (Qui a dit que ça me f'rait pas d'mal?)
Ouai j'vous ai à l'oeil...